Métaphores de Ève Charette
Dans une danse guerrière, le voleur au grand cœur, braconnier de mes nuits devenues si courtes, affrontant le tumulte par ses flèches empoisonnées bout à bout d’un élixir aphrodisiaque pouvant se boire, se lécher, s’humer aussi permettant un parfum sur la peau impossible à affadir.
Incitant ainsi, l’insurrection de mon côté rationnel, produisant des émeutes d’interdiction et forçant le justicier à redistribuer enfin la richesse de ma vie. D'un élan fort, il détroussa les anciens nantis d’un ennui précaire qui vivaient à l’intérieur de moi depuis trop longtemps tout de même.
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Sans retour mon indigente pauvreté devint permise et la Marianne en moi fit irruption, guida avec elle mon Robin des bois pour sa divine volupté.