Temps d'arrêt
Maintenant, il n’y a vraiment rien à faire.
L’épaule droite s’affaisse, un coulis de chair dans la face se détend. Ça va presque se mettre à rire. Tout à coup je réalise que des hanches existent, déposées sur le mince duvet de la chaise
Je ne sais plus qui je suis
C’est très reposant