La guerre des plantes
Dernière mise à jour : 26 août 2019
La page fendue de Sylvie.
A la fois flatté par cette / façon de le faire et de le
dire, un peu pris en tra / ître par cette dure attaque. A ce
moment la présence / d’un dromadaire ne soulève pas la
moindre objection mais / lorsque plus tard la situa-
tion terminée et enfin tou /te calmée, ne dégénèrera plus. Le dé-
lai me parut soudain affreu /sement réel. Que faire de plus?
Je décidai pour l’avenir de/ garder le dromadaire pour améliorer un mo-
ment mes réflexes.
Par bonheur, je conserve/ précieusement depuis toujours avec
moi une collection de pet/ites épées et hallebardes très tranchan-
tes propices aux situations/ critiques. Comme celle qui s’annonce.
On raconte qu’au co/mmencement des hostilités au début de la
guerre, lorsque le génér/al Patton décidait de libérer les lieux, il
poussait les Allemands ve/rs des marécages pleins de plantes carnivores. Il
prit possession de Venise/ sans peine. Dès son entrée sur un dromadaire en
ville une passation de pou/voir eu lieu. Les plantes et le dromadaire furent décorés...